Des études ont de plus mis en évidence que la quantité de créatine stockée était plus importante dans les Il est à noter également qu’une supplémentation en créatine, sous forme de complément alimentaire, serait susceptible d’augmenter la masse maigre grâce à des facteurs hormonauxAu regard de l’importance de l’hypertrophie musculaire dans les sports de type sprints, la supplémentation en créatine pourrait permettre l’amélioration des performances dans ce type de pratiques.Pour en revenir à l’utilisation de la créatine par l’organisme, nous avons vu tout à l’heure que la dégradation d’une molécule d’ATP pouvait entraîner la resynthèse d’une molécule de PCr.C’est à ce moment qu’intervient la filière aérobie et la consommation d’oxygène. Merci ChristopheChristophe, merci pour ce résumé, il va bien me servir.
Il consomme peu de substrats, il dure donc plus.
Un exercice violent de quelques secondes suffit à l’épuiser.
Plus on se rapproche du seuil critique du processus aérobie (c’est-à-dire 100% VMA), plus la lactatémie sanguine va augmenter et donc la faculté de poursuivre son effort va se réduire. Grande contenance pour le processus aérobie, moyenne et faible pour les processus anaérobie lactique et alactique. En effet, après avoir été dégradée par la créatine kinase, la créatine va diffuser jusqu’aux mitochondries (organite de production d’énergie située à l’intérieur de la fibre musculaire) où elle va pouvoir réagir avec l’ATP afin de reformer une molécule de PCr.Cette molécule nouvellement formée va par la suite retourner dans le milieu extracellulaire afin de se coupler de nouveau à de l’ADP.Le rôle de la filière aérobie dans la resynthèse de l’ATP en anaérobie alactique est donc prépondérant.
Bien qu’a priori assez paradoxal, nous insisterons sur le lien entre anaérobie alactique et performance dans les sports d’endurance.Si vous demandez à un coureur régulier/compétitif quelles sont les différentes techniques d’entraînement lui permettant d’améliorer ses performances, il y a fort à parier que ce dernier n’évoque absolument pas le travail des sprints. Ce constat justifie donc les nombreuses procédures de terrain qui recourent à des exercices alactiques pour développer les 2 autres filières énergétiques suivantes.L’ATP-CP est épuisé, et le seul mode de production supplémentaire d’ATP réside dans la libération d’énergie par la dégradation du glucose qui représente 99% des sucres circulant dans le sang. Chaque être vivant, quelle que soit sa taille, a besoin de se mouvoir afin de satisfaire ses besoins primaires. Nous détaillerons cela un peu plus tard.Également connue sous le nom de système ATP-PCr, l’anaérobie alactique est la première des 3 filières à intervenir après le début de l’effort physique.L’athlétisme, les sports collectifs, les sports de combat ou encore l’haltérophilie sont autant de sport ayant recours de façon significative à l’anaérobie alactique.Lors de ce type d’efforts très intenses, la concentration intra-musculaire en ATP chute très rapidement. Un athlète de haut niveau ne peut guère prolonger un effort à 100% de sa VMA plus de 8′. Le terme “anaérobie” constitue donc un abus de langage assez grossier puisque, de toute évidence, la performance liée au système ATP-PCr est étroitement liée à une consommation importante de dioxygèneLe développement de la filière aérobie va donc permettre aux athlètes de pouvoir maintenir plus longtemps le processus anaérobie alactique.On considère toutefois qu’elle ne peut être maintenue au-delà de 20 à 30 secondes.En ce qui concerne sa puissance, on estime que cette dernière exprime son plein potentiel sur une durée allant de 3 à 5 secondes.Durant cette période, la production d’énergie peut atteindre les 100 kcal/min. => CAPACITE ALACTIQUE - augmentation du nombre d’enzymes. La phosphocréatine : voie anaérobie alactique .
Ils participent aussi à l’élimination des déchets de la contraction musculaire. Le processus aérobie peut fournir une quantité d’énergie capable d’entretenir les contractions musculaires jusqu’à plusieurs heures. Et il ne produit que des déchets faciles à éliminer (CO2, eau, chaleur).Ce n’est pas un processus sans limite. Un des buts de la digestion sera de les rendre plus assimilables à l’organisme, sous forme de substrats. Dans une dernière partie, nous allons justement voir les méthodes permettant le développement de la filière anaérobie alactique.
La majeure partie de sa production d’ATP étant utilisée pour assurer des épreuves telles que le 400 ou 800m.Cliquer pour imprimer(ouvre dans une nouvelle fenêtre)Cliquez pour envoyer par e-mail à un ami(ouvre dans une nouvelle fenêtre)Cliquez pour partager sur WhatsApp(ouvre dans une nouvelle fenêtre)Cliquez pour partager sur Facebook(ouvre dans une nouvelle fenêtre)